Cet après-midi de septembre, les résidents de l’IME (Institut médico-éducatif) ont découvert un autre monde, celui de la musique contemporaine, au cours d’un atelier mené par l’ensemble Ptyx, financé par la Direction régionale des affaires culturelles.
À l’évocation du mot «percussions», Angélique accourt, suivi d’Isabelle, et de Jean-Pierre, ancien batteur. Avec quinze autres résidents, ils repèrent des tuyaux en PVC, des boîtes de café, des tubes… « Ptyx cherche à stimuler pêle-mêle la curiosité, la réaction voire l’appétence pour des musiques qui s’écartent des codes de consommation courante », indique Antoine Moulin, le clarinettiste de Ptyx.
En possession d’un instrument de leur choix, les apprentis musiciens testent, écoutent et sont attentifs aux consignes de codification gestuelle indiquées par Erik Pigeard, le percussionniste.
Dans l’atelier d’improvisation dirigée, les résidents s’appliquent, s’écoutent, se concentrent. Après quelques explications sur les prestigieux (et presque uniques) instruments des musiciens, place au concert et au voyage, du Mexique – avec les maracas d’Erik – au Japon grâce à la précieuse trompette à deux pavillons de Christophe Rostang, avant un final aux sons écossais, avec clarinette basse et la participation du public.
À l’évocation du mot «percussions», Angélique accourt, suivi d’Isabelle, et de Jean-Pierre, ancien batteur. Avec quinze autres résidents, ils repèrent des tuyaux en PVC, des boîtes de café, des tubes… « Ptyx cherche à stimuler pêle-mêle la curiosité, la réaction voire l’appétence pour des musiques qui s’écartent des codes de consommation courante », indique Antoine Moulin, le clarinettiste de Ptyx.
En possession d’un instrument de leur choix, les apprentis musiciens testent, écoutent et sont attentifs aux consignes de codification gestuelle indiquées par Erik Pigeard, le percussionniste.
Dans l’atelier d’improvisation dirigée, les résidents s’appliquent, s’écoutent, se concentrent. Après quelques explications sur les prestigieux (et presque uniques) instruments des musiciens, place au concert et au voyage, du Mexique – avec les maracas d’Erik – au Japon grâce à la précieuse trompette à deux pavillons de Christophe Rostang, avant un final aux sons écossais, avec clarinette basse et la participation du public.
La Nouvelle République du Centre-Ouest, 7 septembre 2021