C’est dans son écrin de littérature que la bibliothèque associative La Boîte à livres proposait gratuitement, samedi, un fragment de la musique d’Arvo Pärt, compositeur avant-gardiste estonien né en 1935. Présenté par l’ensemble Ptyx, dans le cadre du Cercle des musiques disparues, Jean-Baptiste Apéré, responsable de l’ensemble et néanmoins compositeur et chef de divers orchestres, a introduit le public, avec la complicité d’Hélène Aubineau dit la luciole (régie) d’Alice Dieval pianiste ; Pierre Malle, violoniste et Benjamin Garnier, violoncelliste, dans l’univers de la composition.
Cet atelier-concert alterné d’instants musicaux et d’explications a permis de découvrir la vie et l’œuvre d’Arvo Pärt : Fratres (1977), avec violon et piano qui a envoûté l’auditoire avec ses sonorités automnales et de légèreté ; Scala Cromatica (2007), troublante par sa résonance. Un moment particulier avec la pièce musicale de Gavin Bryars Pre-medieval metrics (1970) avec sa surprenante partition en colonne, délaissée par Arvo, a impressionné l’assistance peu coutumière du style.
La distribution de lames rythmiques a donné l’occasion à la vingtaine de participants de vivre une vibration musicale artisanale, sous l’orchestration de Jean-Baptiste. Des instants hors du commun appréciés de tous et les échanges avec les musiciens ont su prouver que la musique sacrée contemporaine ouvrait des horizons créatifs.
Cet atelier-concert alterné d’instants musicaux et d’explications a permis de découvrir la vie et l’œuvre d’Arvo Pärt : Fratres (1977), avec violon et piano qui a envoûté l’auditoire avec ses sonorités automnales et de légèreté ; Scala Cromatica (2007), troublante par sa résonance. Un moment particulier avec la pièce musicale de Gavin Bryars Pre-medieval metrics (1970) avec sa surprenante partition en colonne, délaissée par Arvo, a impressionné l’assistance peu coutumière du style.
La distribution de lames rythmiques a donné l’occasion à la vingtaine de participants de vivre une vibration musicale artisanale, sous l’orchestration de Jean-Baptiste. Des instants hors du commun appréciés de tous et les échanges avec les musiciens ont su prouver que la musique sacrée contemporaine ouvrait des horizons créatifs.
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La Nouvelle République du Centre-Ouest, 11 novembre 2021